My lady
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Résumé : |
.O xx |
.O. Faut-il obliger un adolescent à recevoir la transfusion qui pourrait le sauver ? Fiona Maye, Juge de la Haute Cour, décide de lui rendre visite, avant de trancher. Leur rencontre bouleversera le cours des choses. .O. |
Xavier |
.O. Cette juge est là pour faire appliquer la loi, elle semble bien le faire depuis de nombreuses années mais, dans un cas qui n'apparaît pas "plus compliqué" que les autres, elle change son modus operandi et lance avec cette décision, de grands changements dans sa vie de tous les jours. Cette juge qui est admirée par tous va sortir de sa routine. Se cachait-elle derrière la loi pour éviter de se poser trop de questions existentielles ? Se cachait-elle derrière son travail pour éviter de voir son couple se déliter ? Se cachait-elle derrière son travail pour obtenir l'estime des autres ? Difficile de répondre par l'affirmative à ces questions mais cet anicroche dans son quotidien va être le début d'une grande remise en question, d'un retour à la réalité qui ne sera pas facile à maîtriser mais qui permettra au spectateur de se poser des questions en même temps qu'elle tente d'y répondre. Que ce soit du point de vue pénal, du point de vue humain, j'ai pris plaisir à voir évoluer Emma Thompson et si le jeune homme m'a parfois exaspéré, son rôle le justifie et sa soif de reconnaissance de la part de la personne qui l'a fait sortir du nid n'est pas totalement anormale. J'ai l'impression de très mal parler de ce film qui m'a pourtant beaucoup plu... je n'aurais pas du attendre pour écrire sa critique mais je sais que je le reverrai avec intérêt ce qui est un critère suffisant pour obtenir les 3 arobases. Je vous recommande donc ce film qui n'a pas convaincu les critiques de "première" mais nous aura convaincu avec ma chérie... le monde à l'envers, non ? ;-p |
Première : ¤ |
Studio / Ciné Live :
# ??? |
.O. Si la réalisation de Richard Eyre ne fait rarement mieux que le téléfilm BBC moyen, l’interprétation tout en retenue et en silences pesés de l’actrice dégage une intensité qui n’est renforcée que par le jeu ardent du jeune Fionn Whitehead incarnant l’adolescent bouleversé. .O. |
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